Note d’intention du Meteur en scène :

L’œuvre de Molière est tellement riche et moderne que c’est un plaisir vertigineux
d’entreprendre la mise en scène de ses pièces.
Chacune d’elle dissèque magistralement les Vices et Vertus des Hommes. L’esprit subversif et visionnaire de Molière explore les travers de
l’âme et révèle la nature enragée des hommes. Le pouvoir des Pères, des Nobles, du Clergé et des
Scientifiques est souvent opposé à l’Amour et au Bon Sens ; ce qui nous offre alors des situations
désopilantes.

« Les Précieuses Ridicules » est une farce satirique qui porte aussi un drame, celui du désir de
s’élever à un rang plus élevé en fuyant ses origines sociales et culturelles, où l’argent ne suffira
pas à s’assimiler à la Noblesse. En snobant leurs honteuses origines bourgeoises, Cathos et
Magdelon – à l’instar du « Bourgeois Gentilhomme »- souhaitent être intégrées à « la France d’en
haut » et, malgré la menace violente du Couvent, elles s’aveugleront par leurs ambitions et
s’enfonceront inexorablement dans le ridicule.
C’est cette volonté d’émancipation impossible qui les rend touchantes et absolument drôles.
J’ai choisi d’affubler Cathos d’un fort accent du Sud, afin d’appuyer le fait que nos deux Précieuses
sont des « pecques provinciales », et qu’en dépit de tous leurs efforts, elles seront toujours
victimes de leur condition. J’ai aussi souhaité par ce choix rappeler la richesse des sonorités de
notre Langue.
J’ai voulu que leurs maladresses vocales et corporelles les trahissent, que leurs humeurs parfois
scabreuses les dépassent, que leur naïveté se transforme en candeur charmante.

Autre figure essentielle de cette pièce, le valet Mascarille est l’illustration grotesque du fantasme
provincial de la « Jet Set » parisienne. Il trouve dans la vengeance de ses maîtres l’opportunité de
connaître le respect et la considération qu’il croit mériter.
Sa verve, sa fantaisie et l’assurance avec laquelle il se fait passer pour un Marquis à la mode
vont éblouir les deux ignorantes cousines et combler leur snobisme.
Dans cette fourberie cruelle, Mascarille et son encombrant complice Jodelet s’amusent avec truculence
à duper ces « donzelles ». L’accueil démesuré de nos Précieuses les pousse à explorer les limites du ridicule.

Le décalage culturel et intellectuel qui existe toujours entre les couches sociales nous rappelle la
pauvreté de notre ouverture d’esprit, la méchanceté dont nous sommes capables et la difficulté
que nous éprouvons à partager nos richesses et notre savoir.

Il y a une tragédie dans cette farce : celle de l’impossibilité de changer de caste, de milieu socioculturel, de condition…
Nos précieuses auront beau avoir appris toutes les règles de la galanterie et du savoir-vivre,
Mascarille aura beau avoir tout du Marquis à la mode : ils ne seront jamais autre chose que ce que leur naissance leur a imposé.

Gaël Albespy

Mais la troupe qui est elle ?

Gaël ALBESPY mise en scène / Mascarille et Du Croisy

Sa rencontre avec le théâtre à l’âge de 12 ans était au départ destinée à canaliser son énergie et assagir son besoin insolent de s’exprimer.
Ce remède devint une drogue, puis une passion et enfin un métier. A 20 ans, il décide d’en faire sa vie. Grâce au Président Jacques Chirac, il poursuit ses études pour ne pas aller à l’Armée. Il étudie à l’Ecole Perimony et à l’Université de Paris 8, et il monte sur les planches de l’ATC de St Maur où il rencontre ses Maîtres. Parmi eux: Jacques Ardouin, Maurice Audran, Michel Dury, Claude Buschwald… Il y joue quelques grands rôles du répertoire classique : "Scapin" de Molière,"l’Arlequin" de Marivaux, "Figaro" du Barbier de Séville, "Dorante" du Menteur de Corneille, "Roméo" et bien d’autres jeunes premiers. En 2008, il obtient le "Prix Jeune Solidaire du Val d’Oise" pour sa mise en scène du "Songe D’une Nuit D’été" de Shakespeare, joué en partie en LSF et interprété à la fois par des acteurs sourds et entendants.

Il s’investit dans plusieurs Compagnies et joue dans le "Théâtre Jeune Public", mais aussi pour nos éternels anciens dans plusieurs Comédies de Boulevard (Labiche, Feydeau, Courteline, Guitry).
Il trouve le temps d’interpréter des auteurs contemporains qui le bouleversent et qu’il considère "d’Utilité Publique", avec des pièces telles qu’"Hamlet- Machine" de Heiner Muller au TGP de St Denis, "L’amant" d’Harold Pinter, ou encore "Une Visite Inopportune" de Copi.
Il créé il y a deux ans à Paris au Théâtre de Verdure du Jardin Shakespeare, avec Les Lustres Théâtre, "Les Précieuses Ridicules", qui connaîtront un très grand succès auprès des spectateurs au Festival d’Avignon 2011. Il créé cette année "Cendrillon" qui se joue au Théâtre Musical Marsoulan et à Nantes.
En 12 ans, il a pu explorer une partie de notre richesse théâtrale; cela lui permet de vous proposer une mise en scène qui tend à rassembler des styles cultes: Boulevard, Commedia dell’arte, Opérette, Burlesque, Absurde, Humour Noir et Grand Guignol.
Il vit aujourd’hui à La Plaine St Denis - un quartier en plein essor - où il entreprend de développer des Ateliers d’Expression et de Développement du Langage par le théâtre, et notamment grâce à Molière.

Sandra LUCE/ Cathos

Comédienne créative et engagée, commence sa formation professionnelle au "Cours Florent" où elle évolue entre Théâtre Contemporain et Théâtre Classique. Elle écrit, met en scène et joue de nombreux rôles. Sa spontanéité l’amène naturellement vers le "Théâtre de Rue", où l’improvisation est de rigueur. Elle marie Culture et Divertissement, de musées en châteaux, de parcs en jardins, de ville en ville, le tout dans l’interactivité avec le Public. Puis elle monte la Compagnie « Touch’atout » il y a une dizaine d"années.Assoiffée de découvertes, elle se lance dans l’Image et participe à des tournages pour la TV et le Cinéma. Elle est représentée par l’Agent Artistique Silvia Maliardo.

Julien Monnin/Lagrange, Marotte, et un "Porteur"

Une des premières nécessités pour Julien de jouer est de faire fonctionner sa "Machine à Rêves". Naturellement, il a une prédilection pour les histoires aux résonances de Fantasy ou de SF.
Ainsi, il incarne entre autre Marc Valentin dans le film éponyme réalisé par Yoni Kakon, où il n'est pas sans rappeler un certain Clark Kent. Si Julien se plait dans le rôle de "raconteur d'histoires", il veille néanmoins à traiter de sujets sensibles au travers de formes plus simples. Ainsi dans "Rédemption", une pièce de Frank McGuinness, il joue Seph, un pacifiste plongé dans le mutisme après les événement du "Sunday Bloody Sunday". Dans "Angels in America" de Tony Kushner, il joue Joe Pitt, un jeune avocat mormon découvrant son homosexualité. Il joue à Avignon en 2009 dans "Et Dieu Oublia Le Prince Charmant" de Eve Laudenbach. Au cours de ses aventures théâtrales, il rencontre Gaël qui le dirigera dans "Cendrillon et Benoît" et avec qui il jouera dans "Mais Ne Te Promène Donc Pas Toute Nue".
Alternant les plateaux de tournage et les planches, c'est avec un immense plaisir qu'il rejoint ses amis sur l'Aventure

Benoît Thiebault /Gorgibus, Jodelet et un "Porteur"

Après sa formation au Cours Périmony, Benoit fait ses premières armes sur la scène du Théâtre de Verdure du Jardin Shakespeare dans les "Fourberies de Scapin", mis en scène déjà de Gaël Albespy. Benoit visite le Théâtre Classique au travers des oeuvres de Molière, Musset, Feydeau...
Il joue Pancrace, le philosophe illuminé, dans "Le Mariage Forcé", Sylvestre dans "Les Fourberies de Scapin", Ventroux dans "Mais N'te Promène Pas Toute Nue", le commissaire Bridois dans" Monsieur Chasse". De pièce en pièce, Benoit intègre la compagnie "In Cauda" et commence à travailler avec l'Auteur et Metteur en Scène Godefroy Ségal dans des pièces de Feydeau, comme "Le Mariage de Barillon" dans laquelle il interprète Topeau, puis dans des créations de l'Auteur avec "Les Chiens Nous Dresseront", pièce médiévale montée à "La Tempête".
On a pu voir aussi Benoit dans des publicités, des courts métrages présentés dans moult festivals et des Séries TV (notamment dans "Un Village français").

Léa Wiazemsky/ Magdelon

Après une formation au cours Jean Périmony et de nombreux stages face à la caméra, elle débute son parcours de comédienne avec le rôle de Marianne dans "Les Caprices de Marianne" de Musset, mis en scène par Gaël Albespy.
Passionnée d'histoire, elle interprète de nombreux rôles dans des téléfilms historiques (La Marquise de Pompadour, Le Soleil Noir, La Reine et Le Cardinal,...).
En 2005 elle fait partie de "Talents Cannes" dans un Court Métrage de Philippe Lioret.
Dernièrement, on l'a beaucoup vue au théâtre dans des comédies sur l'air du temps, comme "Emilie Ma Chérie" ou "Happy Bad Day".
Aujourd'hui, c'est avec bonheur qu'elle retrouve ses compagnons de l'Ecole Périmony dans "Les Précieuses Ridicules" !

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Les arbitres souverains des belles choses ont dit…

Comme Edmond de Rostand le faisait dire à Cyrano à l'heure de sa mort "Molière a du

génie". "Les Précieuses Ridicules" parvient à faire rire trois cent cinquante ans après
avoir été joué pour la première fois.
Mais n'est-on pas aujourd'hui encore plus que jadis témoin, au travers de la petite lucarne
ou de diverses publications branchées, des discours des uns et des autres qui prétendent
édicter le bon goût lorsque même ils ne sont que caricatures? A une époque où le paraître,
l'étalage (même mensonger) de richesses, et l'éphémère gloriole médiatique tient lieu de
réussite, la farce de Molière est toujours d'actualité. Les acteurs sont tous expérimentés et
à l'aise sur scène. La version mise en scène par Gaël Albespy s'adresse en priorité à
un jeune public, mais n'est pas néanmoins dénuée de dynamisme. Dans des décors faits
de panneaux dessinés, les comédiens enfilent bas de soie et costumes d'époque pour
incarner leur personnage.
Cette version qui joue du décalage entre bourgeoisie et noblesse, mais aussi entre
provinciaux et parisiens à travers les accents des régions et quelques accompagnements
de musiques folkloriques, se révèle fort agréable car légère et sans prétention.
Un classique qu'on revoit toujours avec plaisir. Laurent Coudol

Si Molière était encore vivant....

Il serait heureux ! Lui, dont cette pièce en un acte, « Les Précieuses Ridicules », fut, il faut le
rappeler, son 1er succès parisien, et dont le triomphe à l'époque l'assit comme auteur à succès, ne pourrait qu'en apprécier, j'en suis sûre, la version jouée actuellement au Théâtre Musical Marsoulan, mise en scène par Gaël Albespy.
En effet, le spectacle auquel j'ai pu assister hier soir est pétillant, truculent, réjouissant, sans une once de prétentieux, travers dans lequel peuvent facilement tomber les versions dites «
modernisées » de cette pièce. Le jeu des acteurs est juste, respectueux du texte, et leur bonheur de jouer ne peut que vous entraîner avec eux à goûter toute la finesse et le dynamisme de cette comédie.
Et leur jeu plein de fraîcheur et de pétulance sert parfaitement le propos de l'auteur : dans notre société où l'apparence prédomine souvent sur le fond, les « Précieuses Ridicules », si elles nous réjouissent l'esprit et nous font rire franchement, sont plus que jamais d'actualité, nous parlant de codes sociaux illusoires, d'insatisfaction, de ce travers humain intemporel qui consiste à se faire passer pour ce que l'on n'est pas.En s'appropriant ainsi la pièce avec sa troupe, le metteur en scène a rendu un bel hommage à l'auteur, lequel, dans la préface de l'édition imprimée de sa pièce, avait déclaré : « quand j'aurais eu la plus mauvaise opinion du monde de mes "Précieuses ridicules" avant leur représentation, je dois croire maintenant qu'elles valent quelque chose, puisque tant de gens ensemble en ont dit du bien. »
353 plus tard, la version de ses " Précieuses Ridicules" ne contredit, pour moi qui ai passé un vrai moment de bonheur, ni l'opinion initiale du Tout Paris de l'époque, ni le regard et les exigences que cet auteur de génie portait sur sa pièce : » comme une grande partie des grâces qu'on y a trouvées dépendent de l'action et du ton de la voix, il m'importait qu'on ne les dépouillât pas de ces ornements ». C'est chose accomplie, et plus que joliment ! Maïwen wauthy.

En ce moment, au théâtre musical de Marsoulan dans le 12eme se joue un classique
du genre, "les précieuses ridicules" de Molière. Une pièce qu'on ne présente plus tant
elle fait partie de notre patrimoine. Une pièce qui n'a pas pris une ride tant le ridicule
des gens qui veulent juste paraître est de nos jours encore bien d'actualité. Une pièce
qui fait toujours autant rire. La pièce est merveilleusement bien jouée par une troupe
de comédiens dynamiques et talentueux. Des comédiens qui partagent avec vous leur
plaisir de jouer. La pièce est bien rythmée à tel point qu'on ne s'ennuie jamais. La
pièce recueille de belles critiques sur les sites spécialisés et cet article et ma façon de
remercier les comédiens pour l'agréable moment qu'ils m'ont fait passer. C'est sans
hésitation que je recommande cette pièce à ceux qui ont la possibilité d'aller la voir.
Genfi.over-blog.com9

Le plaisir de redécouvrir Molière
Voilà une version des Précieuses ridicules qui aurait plu à Molière tellement on y retrouve cette
satire féroce de la société toujours présente dans son œuvre.
Ici, les personnages sont ridicules bien sûr mais en même temps touchants dans leur désir
effréné de s’élever dans un monde dont ils ne possèdent pas les codes et qu’ils tentent
maladroitement de copier.
(…)
Gaël Albespy met en scène une version tout à fait réussie de cette célébrissime pièce.
C’est drôle, truculent, imaginatif, dynamique, excessif, ça crie, ça court, ça se bouscule, ça
tombe, c’est joyeux, vivant, impertinent et d’une modernité jubilatoire.
Les comédiens sont épatants. Gaël Albespy, non content de signer la mise en scène, interprète également plusieurs rôles : il est La Grange, puis un laquais courant avec une chaise à porteur, puis la servante Marotte, redevient laquais, puis La Grange puis Marotte de nouveau, c’est un vrai
tourbillon.
(…)
Voilà une belle occasion pour des jeunes de découvrir un Molière vivant, loin des livres scolaires
et pour les autres de le redécouvrir.
Il ne reste plus que le week-end prochain pour voir cette version décoiffante d’un classique d’une
étonnante modernité. Alors ne la manquez pas.
Nicole Bourbon

Ah ! J’adore les classiques revus et corrigés par un metteur en scène jeune et dynamique.
Enlevons la poussière et jouons Molière, Corneille ou Racine avec moins de décorum mais autant de rigueur. Gaël Albespy a trouvé ce qui convenait le mieux à cette comédie et le public ne s’en plaint pas. Quelques trouvailles, un jeu parfait, les clés de la réussite. Le plaisir de redécouvrir Molière.
Michel Dagneau (le bibliothécaire juillet-aout-septembre 2011).

Paroles de spectateurs :

-vraiment vraiment vraiment top ! -
Au début, on pense que ça va être sympa (because Molière !) mais déjà vu, qu'on va passer un bon moment, sans plus. Et puis ... et puis il faut peu de temps pour se laisser embarquer totalement par le burlesque et le joyeusement farfelu de ce spectacle. Voilà, on a ainsi la preuve que quand la mise en scène est inventive et ne craint aucune déraison, qu'elle a l'audace de sa folie et le cran de ses délires, Molière peut être un vrai délice ! Et surtout, surtout, lorsque les acteurs, comme ceux-ci, sont si bien chacun dans leurs rôles, chacun
bien à sa place, vraiment drôles et débordants d'une énergie très communicative, là on se dit que Molière, si si, ça vaut encore le coup d'aller au théâtre pour le voir. En tout cas, ces précieuses ridicules, vraiment, ça vaut le coup d'aller poser ses fesses sur les sièges de la Comédie Saint Michel. Bravo et merci !

-Formidable -10/10
Bravo tout simplement! Idéal si vous souhaitez faire découvrir ou re découvrir Molière! Idéal également pour les jeunes qui ne connaîtraient pas. Les Précieuse Ridicules, pièce géniale qui ici garde toute son authenticité et son pouvoir comique. Bravo à cette nouvelle mise en scène et à cette équipe de comédiens très doués qui m'ont enchanté! Pièce qui vaut la peine d'être vue!! J'ai passé un moment vraiment super et j'ai beaucoup ri! Merci! écrit le 20/11/12

-A voir sans modération!!! -8/10
très bien joué,belle mise en scène ,drolissime, un vrai moment de bonheur !!! en un mot bravo!!!

-Molière à la fois classique et accessible -9/10
Nous avons passé un bon moment en assistant à cette représentation. La pièce est bien jouée, la mise en scène actuelle et amusante. Pour faire connaître cette pièce à des ados (arrachés à leur ordinateur) c'est un super plan : ils ont adoré ! Les aventures de Magdelon-Polyxène et Cathos-Aminte les ont bien fait rire ! C'est gagné : nous pourrons aller voir d'autres pièces "classiques" avec eux sans entendre raler en route !!!

-Bien joué ! -10/10
On savait la pièce drôle et moderne, la voilà servie par une troupe impeccable sur une mise en scène créative et dynamique. Une belle réussite.

-Très sympa ! -
Comédiens très dynamiques. On ne se lasse pas des précieuses. Un vrai plaisir, Merci !

-super moment -
nous avons beaucoup ri, le thème est toujours d'actualité, les acteurs multi-rôles sont parfaits, très bonne interprétation. écrit le 31/12/11 , a vu cet évènement avec BilletReduc.com

-Excellentissime
Très Vivant, drôle, dynamique ! Nous étions conquis ! écrit le 12 Mars , a vu cet évènement avec BilletReduc.com

-A découvrir d'urgence! -
Des précieuses ridicules délicieusement interprétées par une jeune troupe drôle et dynamique. Costumes, décors et comédiens font vivre pendant plus d'une heure, en plein air, cette fameuse farce de Moliere... qui n'a pas pris une ride, bien au contraire. Et on en redemande! Le tout servi dans le sublime cadre des jardins Shakespeare. A voir pendant qu'il fait beau...

-A voir! -
Superbe cadre, chouettes costumes et un texte très drôle et très bien interprété... On ne voit pas le temps
passer!

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*Bande démo du spéctacle

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